S’il est bien vrai qu’on ne finit jamais d’apprendre, le terme de formation continue recouvre une démarche à conjuguer avec stratégie qui peut donner lieu à de nombreuses valorisations.
Nous avons toujours besoin de compléter, approfondir, valider ce qu’on sait. De plus, les techniques, les normes, les méthodes, les objectifs, évoluent sans cesse. Enfin, les entreprises, friandes de personnel « pointu », ont souvent comme premier critère de recherche : le diplôme.
Salarié.e, demandeur d’emploi, profession libérale, fonctionnaire, etc. En fait, toute personne qui souhaite acquérir ou valider une qualification doit penser à la formation continue. Cela permet de découvrir une profession, valoriser ou approfondir une compétence. Et ce, sans considération d’âge, de niveau d’études ou de moyens.
La formation continue offre des programmes riches et diversifiés. Ainsi, elle implique une grande souplesse dans le rythme et l’organisation.
En conséquence, diplômes, équivalences, valorisations, peuvent s’obtenir via un cursus conventionnel (établissement d'enseignement supérieur ou de formation professionnelle), des stages très ciblés (parfois en entreprise), des cours du soir, par correspondance …
Il n’y a pas d’âge pour entreprendre une formation ou reprendre un cursus abandonné.
Quel que soit le déclencheur de votre décision, commencez par déterminer précisément votre objectif et l’éventuel besoin d’un préalable (bilan de compétences, VAE). Dans un premier temps, cernez la formation proprement dite : type, lieu, durée, organisation personnelle à mettre en place … et activez les aides auxquelles vous pouvez prétendre.
La formation professionnelle continue est une obligation nationale (inscrite dans le Code du Travail). Elle donne lieu à des aides modulées selon le statut du bénéficiaire, essentiellement : financement de la formation et rémunération ou indemnisation de la personne durant cette formation.